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jean-yves le gallou - Page 74

  • La seule Cour suprême, c'est le peuple français !...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à l'effacement de la politique...

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    Alain de Benoist : « Le général de Gaulle était contre le gouvernement des juges et des experts »

    Autrefois, on nous disait que « tout est politique ». Désormais, la mode semble être du côté des « experts ». La politique a-t-elle encore de l’avenir ?

    Comme toujours, il faut distinguer la politique et le politique : la vie politicienne et la dimension politique de la vie publique. Portée par l’actualité, la politique va son bout de chemin : chasse au burkini et au Pokémon, ambitions montebourgeoises, louvoiements du Marmiton et du Maqueron, échéances électorales, etc. Le politique, lui, se réduit comme peau de chagrin, puisque tout est fait pour substituer à la décision populaire la gestion administrative, la souveraineté des marchés financiers, l’autorité des « experts » et le gouvernement des juges.

    Le politique s’efface d’abord sous l’effet de la morale, qui prend la forme d’une posture dont les groupes de pression « antiracistes » et les ligues de vertu néopuritaines qui se réclament de l’idéologie des droits de l’homme sont l’exemple achevé. Parallèlement, on assiste à la dissolution du politique dans l’économique, qui va de pair avec celle du national dans le transnational (ou le supranational) lorsqu’on prétend que le politique n’est pas libre de remettre en cause l’injonction libérale de libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux. Quant à l’expertocratie, elle assied son pouvoir sur l’idée que le peuple est « incompétent » et qu’il vaut mieux laisser à « ceux qui savent » le soin de conduire les affaires publiques.

    Pour les experts, les problèmes politiques ne sont-ils pas finalement de simples problèmes techniques ?

    Plus précisément des problèmes pour lesquels il ne peut exister rationnellement qu’une seule solution optimale, qu’il appartient précisément aux experts de déterminer. C’est le fondement de l’idée libérale selon laquelle « il n’y a pas d’alternative » (« there is no alternative », formule attribuée à Margaret Thatcher), qui est aussi l’un des fondements de la « pensée unique ». On veut faire croire que les antagonismes politiques sont appelés à dépérir sous l’effet apaisant d’une culture « technique » commune. Cette neutralisation équivaut, en fait, à une dépolitisation et, à terme, à la mort du politique. Les aspirations humaines étant différentes et potentiellement conflictuelles, on ne peut en effet trancher entre elles qu’au nom de critères normatifs qui ne se ramènent jamais à l’unité. La décision politique consiste à choisir entre des possibles, dont aucun ne s’impose « objectivement » à tous. Elle peut toujours varier en fonction des circonstances et des critères retenus.

    Les démocraties ont besoin d’être « incarnées ».

    Mais dans les démocraties libérales, le pouvoir appartient moins aux hommes qu’il n’appartient aux lois. Or, comme l’explique très bien Jacques Sapir, ces lois « s’imposent comme des normes générales, de manière “technique”, aux individus. Dans un tel régime, il n’y a plus de place pour la controverse et la lutte pour le pouvoir et pour l’action politique. Il n’y a plus de place que pour une polarité entre raisonnement que l’on prétend technique et posture morale. On a donc bien cette dépolitisation du politique qui est ressentie comme une agression insupportable par une majorité du peuple, car elle vise à lui retirer sa capacité de décider, c’est-à-dire sa souveraineté ».

    Vous parliez aussi de « gouvernement des juges » ?

    On y est. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ont été dotés de nouveaux pouvoirs, qu’ils exercent en référence à la Déclaration des droits de l’homme de 1789, au préambule de la Constitution de 1946, à la Convention européenne des droits de l’homme de 1950 et à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg. Créée en 1949, cette dernière est, on le sait, compétente pour traiter des recours visant n’importe quel État membre du Conseil de l’Europe. Elle peut être saisie par tout individu s’estimant victime d’une « atteinte aux droits de l’homme », indépendamment de son lieu de résidence et de sa nationalité. Elle connaît aujourd’hui 70.000 requêtes par an ! Ses décisions n’étant susceptibles d’aucun recours, les États condamnés n’ont pas d’autre possibilité que de s’incliner. C’est ainsi que la France a dû s’incliner devant l’obligation qui lui a été faite de reconnaître les enfants nés d’une mère porteuse étrangère, d’autoriser les syndicats de soldats, d’admettre le regroupement familial, de verser une indemnité à des pirates somaliens pour le « dommage moral » subi au cours de leur arrestation, d’empêcher l’expulsion d’un certain nombre de djihadistes, etc.

    Jean-Yves Le Gallou n’a pas tort de dire que « nous vivons depuis quarante ans sous un régime qui est celui du coup d’État des juges » et qu’un certain nombre de décisions ou de réformes, touchant notamment les problèmes migratoires ou les questions de société, sont aujourd’hui impossibles et le resteront aussi longtemps que l’on n’aura pas modifié ou abandonné le bloc de constitutionnalité. « Tout, ou à peu près, de la vie quotidienne des Français relève désormais des pouvoirs des 47 juges de Strasbourg », écrit de son côté Pierre Lellouche, qui ajoute : « Ce qui est en marche n’est rien d’autre qu’un pouvoir juridictionnel supranational dénué de tout contrepoids politique. »

    Cette situation va à l’encontre d’une tradition européenne qui n’est pas celle des pays de Common Law : contrairement à Locke, Montesquieu refusait le gouvernement des juges. Dans la conception française de l’État, théorisée par Carré de Malberg, l’État, étant souverain, ne peut être soumis à une volonté supérieure à la sienne. C’est cette conception qui a été abolie par la décision de reconnaître aux traités européens une autorité supérieure à celle des souverainetés populaires et des législations nationales (art. 55 de la Constitution). Le général de Gaulle, lui, n’avait jamais accepté de reconnaître la compétence de la Cour européenne des droits de l’homme : « En France, disait-il, la seule Cour suprême, c’est le peuple français. »

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 8 octobre 2016)

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  • Feu sur la désinformation... (107)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Zemmour cause : la chasse à l’homme s’engage.
      Interview d’Eric Zemmour dans le journal « Causeur ». Un extrait fait scandale dans la presse : le journaliste a affirmé « respecter les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient ». Une plainte est déposée contre le journaliste pour « apologie du terrorisme ». Elisabeth Lévy, directrice du journal « Causeur » est obligée de se justifier et on demande à Eric Zemmour de s’excuser.
      Dans les faits, ce scandale s’apparente à une chasse à l’homme : comment faire taire Eric Zemmour ?
      I-Média réinforme
    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Trump/Clinton : sexe, magouilles et trahison.
      Le candidat Donald Trump tient hors micro, en 2005, des propos jugés sexistes. Scandale aux Etats Unis grâce à une presse très engagée dans le camp démocrate.
      Une affaire qui permet d’en cacher une autre : les emails d’Hillary Clinton. Aux Etats Unis, un agent département d’Etat américain qui utilise une messagerie privée, non protégée, dans un cadre professionnel, peut être condamné non seulement à perdre son emploi, mais aussi à une peine de prison.
      I-Média décrypte
    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Morandini sous protection rapprochée.
      « Le 19 octobre, Jean Marc Morandini rejoindra comme prévu « I-télé » pour un magazine consacré aux médias ». Ce sont les mots de la direction d’I-télé. Mais l’arrivée de l’animateur, mis en examen pour « corruption de mineur aggravée », crée le malaise au sein de la rédaction de la chaîne.
      Pourquoi ce recrutement dans ces circonstances ? Manifestement Jean Marc Morandini a un soutien inconditionnel de la part de la direction de « Canal Plus ».

     

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  • Feu sur la désinformation... (106)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Théorie du genre ? « Fantasme » pour les médias
      Fantasme du genre ! Le 2 octobre 2016, le pape a dénoncé les manuels scolaires qui diffusent la théorie du genre. Scandale dans les médias : Pour eux, la théorie du genre n’existe pas, le pape s’est fait intoxiqué, ce sont des fantasmes !
    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 :  Orban approuvé à 98 % ! C’est un désaveu pour les médias !
      Référendum antimigrants en Hongrie : 98 % des hongrois refusent l’accueil des migrants imposés par l’Europe ! Le référendum ne pourra pas être validé, car seul 40 % des inscrits ont votés.
      Pour les médias c’est un désaveu de la politique du premier ministre hongrois, Pourtant, jamais en Hongrie, un homme politique n’a obtenu autant de voix en sa faveur.
      I-média décrypte
    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : « Sans Tabou » de Bernard de La Villardière à Sevran, la cité interdite
      « Sans Tabou », le documentaire de Bernard de La Villardière sur l’islam en France fait scandale : Ce serait une émission de propagande islamophobe. Pendant le tournage, le journaliste s’est fait agressé dans la ville de Sevran en Seine Saint Denis  : Pour les médias la parole des agresseurs compte plus que la parole de l’agressé.
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  • Feu sur la désinformation... (105)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 :Election présidentielle américaine : Clinton, Trump, les médias vous trompent !

      Clinton, Trump le débat télévisé pour la présidentielle américaine. Pour les médias américains et français, aucune hésitation : Clinton « a détruit Donald Trump ». Une affirmation à chaud qui se révèle être fausse. Les nombreux votes internet semblent prouver que pour les citoyens américains, Trump n’a pas été battu pendant le débat.
      Décryptage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Le gouvernement veut avorter la liberté de penser.

      Laurence Rossignol veut un « délit d’entrave numérique ». Un délit qui serait sur mesure contre les sites pro-vie. Pour les médias, ces sites mentent et manipulent les femmes. Dans les faits, cette loi relèverait plus du délit d’opinion que de la prévention. Pour Emile Duport, administrateur du site Afterbaiz, « le but est de répondre aux questions intimes des jeunes sur leurs relations affectives et sexuelles ».
      I-Média réinforme.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Fachosphère la diabolisation de la réinformation

      « La Fachosphère, comment l’extrême droite remporte la bataille du net ». Tapis rouge dans les médias pour les journalistes de Libération et des Inrocks. C’est l’occasion pour les journalistes de diaboliser la réinformation et de censurer les acteurs de la réinformation.

     

     

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  • Le Grand Remplacement, une réalité...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia, au quotidien Présent à propos du Grand Remplacement...

     

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    Une école du XVIIIe arrondissement à travers les âges...

     

    Le Grand Remplacement, une réalité

    Présent – Les statistiques ethniques sont interdites en France. Vous donnez néanmoins une estimation assez précise de la population extra-européenne sur notre territoire. Quelle est votre méthode ?

    Jean-Yves Le Gallou – Je n’ai pas d’estimations précises de la population extra-européenne présente en France. En revanche, nous avons une très bonne approximation des naissances non européennes grâce aux statistiques de dépistage de la drépanocytose, une maladie rare qui peut affecter les enfants non européens. 21% des naissances n’étaient pas européennes en France en 2001, 37% des naissances ne l’étaient pas davantage en 2015 (observez la vitesse de progression) et 66% – oui, vous avez bien lu, les deux tiers – ne l’étaient pas en Ile-de-France. Contrairement à ce qu’affirment les désinformateurs et à ce que feignent de croire les autruches, le Grand Remplacement n’est pas un fantasme, c’est un fait – un fait démographique d’abord, un fait civilisationnel ensuite.

    – Quelles sont les causes de ce que vous appelez sans fard « la catastrophe » ?

    Depuis 30 ans les Français ont porté majoritairement leurs suffrages vers des formations politiques – FN, bien sûr, mais aussi bloc RPR/UMP/LR – qui affichaient pour objectif la limitation et même l’arrêt de l’immigration : « Immigration zéro », disait même le RPR de Chirac et Juppé dans les années 1990 ! Et pourtant l’immigration n’a cessé de s’accélérer et l’islamisation de se développer.

    – Pourquoi ?

    Parce que l’immigration et le Grand Remplacement sont voulus. Les représentants de la superclasse mondiale, quelques milliers d’hommes à la tête des grande banques, des grandes multinationales, des grandes firmes culturelles, soutiennent (comme Soros) tous les « No borders », financent les associations immigrationnistes et surtout contrôlent les principaux médias de propagande qui promeuvent « Big Other ». Ils ont leur idéologie, l’idéologie des droits de l’homme, négatrice des identités collectives et des frontières, et leur instrument juridique : ce qu’ils appellent « l’Etat de droit » qui n’est rien d’autre que la dictature des juges.

    – Pouvez-vous nous expliquer ce que vous appelez « le coup d’Etat des juges » ?

    Depuis 30 ans ce ne sont ni les présidents de la République, ni les ministres, ni les députés, ni les préfets, ni les maires qui écrivent et mettent en œuvre les textes sur l’immigration sous le contrôle du peuple ; ce sont les juges qui élaborent et appliquent les règles sous le contrôle des médias.

    Les vrais patrons de la politique d’immigration ne sont pas les marionnettes du spectacle politicien, ce sont les juges idéologiques de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), les juges politisés du Conseil constitutionnel, les juges militants du Conseil d’Etat et ceux des tribunaux administratifs et des tribunaux judiciaires. Les juges décident, les hommes politiques font de la figuration – comme dans l’affaire du burkini où la décision a été prise notamment par le « juge » Tuot, un militant immigrationniste favorable à la régularisation de tous les clandestins et au changement des noms de rue pour s’adapter à l’immigration (suppression des noms de saints, notamment).

    – Comment expliquez-vous l’entêtement de l’oligarchie mondialiste à imposer à la seule société occidentale un modèle multiculturel dont on connaît les effets dévastateurs ?

    C’est un mélange de biblisme anglo-saxon et d’intérêts économiques : disposer d’une main-d’œuvre bon marché et augmenter le nombre de consommateurs dans le monde. Il y a aussi l’idée de faire de tous d’abord des consommateurs, l’illusion que la société multiculturelle pourrait s’unifier autour de la notion de consommateur. C’est une illusion car les identités enracinées se vengent, sauf en Europe, hélas, puisque les Européens sont culpabilisés et subissent une propagande (médias, publicité, associations subventionnées) d’une puissance sans précédent dans l’histoire du monde.

    – La situation, si elle vous semble alarmante, n’est selon vous pas encore totalement désespérée. Quels sont pour vous les signes d’espoir ?

    Electoralement, les partis populistes progressent partout en Europe, y compris en Allemagne où c’est particulièrement difficile: l’AFD (Alternative für Deutschland), parti anti-euro, parti anti-Union européenne, n’atteignait pas 5% en 2012 ; l’AFD, parti anti-immigration, dépasse 20% aujourd’hui ! Une leçon à retenir. Par tout le monde.

    A l’est, les pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie) refusent clairement l’immigration/invasion et entendent défendre leur identité européenne et chrétienne.

    Enfin, les réactions concrètes se multiplient en France. Il faut ici saluer l’action exemplaire des Corses qui refusent le caillassage de leurs pompiers (affaire des Jardins de l’empereur à Ajaccio) et la privatisation de leur plage (Sisco).

    C’est dans le but de promouvoir cet esprit de résistance que Polémia organisera son Deuxième Forum de la dissidence, samedi 19 novembre, à Paris

    – Vous êtes demain ministre de l’Intérieur. Quelles sont les premières mesures que vous prendriez d’urgence ?

     Il y a un préalable à toute mesure : la révision de la constitution par référendum pour rétablir la souveraineté nationale et populaire : la souveraineté nationale, c’est-à-dire le primat de la loi française postérieure sur les traités internationaux ; la souveraineté populaire, c’est-à-dire le primat du législateur (parlementaire ou citoyen par référendum) sur les interprétations prétoriennes de textes généraux par les juges.

    Bref, en termes juridiques cela signifie changer le bloc de constitutionnalité pour mettre un terme à la dictature des juges.

    Un président (ou une présidente) de la République qui ne réviserait pas en profondeur la Constitution dans les 50 premiers jours de son mandat ne pourrait rien faire sur l’immigration, sauf du Guéant, ministre de l’Intérieur de 2010 à 2012, qui a fait le maximum possible dans l’ordre juridique actuel.

    Changer de président sans changer de Constitution ne servirait à rien. Si tel était le cas, on pourrait fredonner la chanson : « Ce n’était pas la peine assurément de changer de gouvernement ! »

    Reprendre la maîtrise de la situation ne sera pas un long fleuve tranquille !

    Jean-Yves Le Gallou, propos recueillis par Louis Lorphelin (Présent, 21 septembre 2016)

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  • Feu sur la désinformation... (104)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Musulmans de France, l’enquête qui terrifie

      Musulmans de France, “l’enquête qui surprend”, c’est le titre du JDD qui publie une étude IFOP commandée par l’institut Montaigne, “l’étude qui fait peur” devrait être le titre. Décryptage du sondage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : France info, deux points ouvrez l’intox

      “Instant désintox”, “maux pour mots”, ce sont les émissions de la chaîne du canal 27 “France info”, des émissions de propagande dans une chaîne qui rencontre des problèmes internes.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Quotidien, Médiapart indésirables à Fréjus, censure ?

      Des journalistes de Médiapart et du Quotidien indésirables aux estivales de Marine à Fréjus, pour le Front National ce sont des militants à carte de presse, info ou intox décryptage dans I-Média.

     

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