Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jean-yves le gallou - Page 74

  • Le Grand Remplacement, une réalité...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia, au quotidien Présent à propos du Grand Remplacement...

     

    Remplacement.jpg

    Une école du XVIIIe arrondissement à travers les âges...

     

    Le Grand Remplacement, une réalité

    Présent – Les statistiques ethniques sont interdites en France. Vous donnez néanmoins une estimation assez précise de la population extra-européenne sur notre territoire. Quelle est votre méthode ?

    Jean-Yves Le Gallou – Je n’ai pas d’estimations précises de la population extra-européenne présente en France. En revanche, nous avons une très bonne approximation des naissances non européennes grâce aux statistiques de dépistage de la drépanocytose, une maladie rare qui peut affecter les enfants non européens. 21% des naissances n’étaient pas européennes en France en 2001, 37% des naissances ne l’étaient pas davantage en 2015 (observez la vitesse de progression) et 66% – oui, vous avez bien lu, les deux tiers – ne l’étaient pas en Ile-de-France. Contrairement à ce qu’affirment les désinformateurs et à ce que feignent de croire les autruches, le Grand Remplacement n’est pas un fantasme, c’est un fait – un fait démographique d’abord, un fait civilisationnel ensuite.

    – Quelles sont les causes de ce que vous appelez sans fard « la catastrophe » ?

    Depuis 30 ans les Français ont porté majoritairement leurs suffrages vers des formations politiques – FN, bien sûr, mais aussi bloc RPR/UMP/LR – qui affichaient pour objectif la limitation et même l’arrêt de l’immigration : « Immigration zéro », disait même le RPR de Chirac et Juppé dans les années 1990 ! Et pourtant l’immigration n’a cessé de s’accélérer et l’islamisation de se développer.

    – Pourquoi ?

    Parce que l’immigration et le Grand Remplacement sont voulus. Les représentants de la superclasse mondiale, quelques milliers d’hommes à la tête des grande banques, des grandes multinationales, des grandes firmes culturelles, soutiennent (comme Soros) tous les « No borders », financent les associations immigrationnistes et surtout contrôlent les principaux médias de propagande qui promeuvent « Big Other ». Ils ont leur idéologie, l’idéologie des droits de l’homme, négatrice des identités collectives et des frontières, et leur instrument juridique : ce qu’ils appellent « l’Etat de droit » qui n’est rien d’autre que la dictature des juges.

    – Pouvez-vous nous expliquer ce que vous appelez « le coup d’Etat des juges » ?

    Depuis 30 ans ce ne sont ni les présidents de la République, ni les ministres, ni les députés, ni les préfets, ni les maires qui écrivent et mettent en œuvre les textes sur l’immigration sous le contrôle du peuple ; ce sont les juges qui élaborent et appliquent les règles sous le contrôle des médias.

    Les vrais patrons de la politique d’immigration ne sont pas les marionnettes du spectacle politicien, ce sont les juges idéologiques de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), les juges politisés du Conseil constitutionnel, les juges militants du Conseil d’Etat et ceux des tribunaux administratifs et des tribunaux judiciaires. Les juges décident, les hommes politiques font de la figuration – comme dans l’affaire du burkini où la décision a été prise notamment par le « juge » Tuot, un militant immigrationniste favorable à la régularisation de tous les clandestins et au changement des noms de rue pour s’adapter à l’immigration (suppression des noms de saints, notamment).

    – Comment expliquez-vous l’entêtement de l’oligarchie mondialiste à imposer à la seule société occidentale un modèle multiculturel dont on connaît les effets dévastateurs ?

    C’est un mélange de biblisme anglo-saxon et d’intérêts économiques : disposer d’une main-d’œuvre bon marché et augmenter le nombre de consommateurs dans le monde. Il y a aussi l’idée de faire de tous d’abord des consommateurs, l’illusion que la société multiculturelle pourrait s’unifier autour de la notion de consommateur. C’est une illusion car les identités enracinées se vengent, sauf en Europe, hélas, puisque les Européens sont culpabilisés et subissent une propagande (médias, publicité, associations subventionnées) d’une puissance sans précédent dans l’histoire du monde.

    – La situation, si elle vous semble alarmante, n’est selon vous pas encore totalement désespérée. Quels sont pour vous les signes d’espoir ?

    Electoralement, les partis populistes progressent partout en Europe, y compris en Allemagne où c’est particulièrement difficile: l’AFD (Alternative für Deutschland), parti anti-euro, parti anti-Union européenne, n’atteignait pas 5% en 2012 ; l’AFD, parti anti-immigration, dépasse 20% aujourd’hui ! Une leçon à retenir. Par tout le monde.

    A l’est, les pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie) refusent clairement l’immigration/invasion et entendent défendre leur identité européenne et chrétienne.

    Enfin, les réactions concrètes se multiplient en France. Il faut ici saluer l’action exemplaire des Corses qui refusent le caillassage de leurs pompiers (affaire des Jardins de l’empereur à Ajaccio) et la privatisation de leur plage (Sisco).

    C’est dans le but de promouvoir cet esprit de résistance que Polémia organisera son Deuxième Forum de la dissidence, samedi 19 novembre, à Paris

    – Vous êtes demain ministre de l’Intérieur. Quelles sont les premières mesures que vous prendriez d’urgence ?

     Il y a un préalable à toute mesure : la révision de la constitution par référendum pour rétablir la souveraineté nationale et populaire : la souveraineté nationale, c’est-à-dire le primat de la loi française postérieure sur les traités internationaux ; la souveraineté populaire, c’est-à-dire le primat du législateur (parlementaire ou citoyen par référendum) sur les interprétations prétoriennes de textes généraux par les juges.

    Bref, en termes juridiques cela signifie changer le bloc de constitutionnalité pour mettre un terme à la dictature des juges.

    Un président (ou une présidente) de la République qui ne réviserait pas en profondeur la Constitution dans les 50 premiers jours de son mandat ne pourrait rien faire sur l’immigration, sauf du Guéant, ministre de l’Intérieur de 2010 à 2012, qui a fait le maximum possible dans l’ordre juridique actuel.

    Changer de président sans changer de Constitution ne servirait à rien. Si tel était le cas, on pourrait fredonner la chanson : « Ce n’était pas la peine assurément de changer de gouvernement ! »

    Reprendre la maîtrise de la situation ne sera pas un long fleuve tranquille !

    Jean-Yves Le Gallou, propos recueillis par Louis Lorphelin (Présent, 21 septembre 2016)

    Lien permanent Catégories : Entretiens 2 commentaires Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (104)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Musulmans de France, l’enquête qui terrifie

      Musulmans de France, “l’enquête qui surprend”, c’est le titre du JDD qui publie une étude IFOP commandée par l’institut Montaigne, “l’étude qui fait peur” devrait être le titre. Décryptage du sondage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : France info, deux points ouvrez l’intox

      “Instant désintox”, “maux pour mots”, ce sont les émissions de la chaîne du canal 27 “France info”, des émissions de propagande dans une chaîne qui rencontre des problèmes internes.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Quotidien, Médiapart indésirables à Fréjus, censure ?

      Des journalistes de Médiapart et du Quotidien indésirables aux estivales de Marine à Fréjus, pour le Front National ce sont des militants à carte de presse, info ou intox décryptage dans I-Média.

     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (103)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Loi Taubira : sondage trafiqué médias engagés

      « Mariage pour tous », un sondage commandé par l’ADFH (association des familles homoparentales) déclare que 65 % des français sont favorables à la loi Taubira. Un sondage trafiqué, pour des médias engagés. Décryptage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Quand Clinton tousse, les médias sont malades

      Hillary Clinton malade ? pour les médias cette info est une intox et relève du complotisme. Le 11 septembre Hillary tombe, changement de cap, revirement en urgence c’est la cata dans les médias.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Abel Mestre déclare la guerre à la réinformation

      Breizh-info obtient un accord avec le club de rugby de Vannes. Un accord qui n’est pas du goût d’Abel Mestre. Le journaliste engagé du Monde va faire appel à la censure pour faire annuler l’accord. I-Média réinforme.

     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Quand les Européens découvrent que leurs états ne les protègent plus...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la trahison des Européens par leurs "élites" politiques...

     

    merkel-migrants 2.jpg

     

    En 2016 les Européens ont découvert que les Etats ne les protégeaient plus

    L’année 2016 restera dans les mémoires comme celle de la grande offensive de l’islamisme contre les Européens et les Français en particulier : pas une semaine sans attentat, sans agression contre des femmes, sans violence contre des policiers, du personnel pénitentiaire ou des pompiers ; pas une semaine sans acte criminel commis par des individus souffrant de « troubles du comportement » comme disent les médias de propagande ! Des « déséquilibrés » qui ont en effet la curieuse manie de proclamer qu’Allah est grand ou qu’il faut niquer la France

    Mais face à cette offensive, les peuples européens découvrent surtout qu’ils sont sans défense car leurs gouvernements non seulement leur cachent la vérité mais ne les protègent plus.

    La guerre de civilisation a commencé mais les gouvernements européens ne veulent pas la mener.

    Le fiasco européen

    L’Union européenne a déjà démontré en 2015 son incapacité à protéger les frontières de l’Europe de l’arrivée massive d’immigrants.

    Tout ce qu’elle prétend faire c’est répartir autoritairement les immigrants entre les Etats membres mais l’Espace Schengen rend illusoire ce type de mesure.

    En clair l’Union européenne ne sait pas relever ce défi, ce qui explique que les Etats du Groupe de Visegrad font sécession de fait et rétablissent leurs frontières et que les Britanniques se sont prononcés pour le Brexit. L’Union européenne, censée nous apporter la paix, est tournée de toutes parts.

    A Calais la jungle des migrants n’est plus sous contrôle de l’aveu même du maire et les services de police se déclarent débordés. Comme en Grèce ou ailleurs.

    L’Europe sans défense

    L’union européenne n’a plus de frontières. Mais elle n’est pas prête non plus à affronter la guerre de civilisation.

    Le 14 juillet, on fait toujours défiler nos armées pour rassurer le bon peuple sur sa sécurité. Les matériels sont rutilants et les rangs sont comme les mâchoires : bien serrés. Mais il ne s’agit que d’un beau spectacle.

    Notre outil de défense reste en effet adapté à un conflit qui heureusement n’a pas eu lieu : affronter le Pacte de Varsovie en Europe. L’effondrement de l’URSS a pris les stratèges au dépourvu. Notre armée est donc dotée de matériels lourds destinés au choc frontal en Centre Europe contre une autre armée mécanisée. Elle n’est donc pas du tout adaptée au monde chaotique de la guerre de civilisation où le front est partout et où l’ennemi est déjà chez nous.

    Notre dissuasion nucléaire vise à nous protéger des autres puissances nucléaires. Elle garantit surtout le dernier espace de souveraineté politique qui nous reste. Mais elle joue un rôle comparable à celui de la Ligne Maginot dans la stratégie française des années 1930 : car elle garantit notre sécurité tant que l’adversaire a la bonne idée de raisonner comme nous – au cas d’espèce d’éviter une destruction mutuelle ou de trop graves dommages. Mais qu’en serait-il face à un adversaire déraisonnable ou kamikaze qui, lui, n’aurait pas peur de mourir, le tout dans un contexte mondial de dissémination de l’arme nucléaire ?

    Dans les années 1990 les pays européens se sont enfin mis au diapason de la projection, puisque les Occidentaux jouent de plus en plus le rôle de supplétifs des intérêts stratégiques américains, notamment au Moyen-Orient, et que nos politiques se sont empressés de réintégrer la France dans l’organisation intégrée de l’OTAN, au moment même où cette alliance perdait toute justification. On fait donc de plus en plus la guerre à l’étranger à mesure que le chaos s’étend au Moyen-Orient et en Afrique. Mais pas de chance : le front est désormais chez nous aussi et ces opérations extérieures usent nos forces.

    Les militaires qui patrouillent désormais dans presque toutes les villes européennes ne font que de la figuration à la demande des politiques. Car tout le monde sait qu’ils n’empêchent pas la progression des violences terroristes.

    Les Etats dépassés face à l’islamisme

    En réalité les pouvoirs publics sont dépassés face à l’islamisme.

    A cause, d’abord, de leur incapacité à réguler les migrations.

    A cause, ensuite, de leur laxisme systématique vis-à-vis des manifestations croissantes du prosélytisme islamiste, laxisme qui repose sur le clientélisme électoral, surtout à gauche.

    Enfin, à cause d’une grave erreur de jugement consistant à croire que pour lutter contre l’islamisme il faudrait encourager… l’islam : grâce à cette politique digne de Gribouille, les Européens ont désormais à la fois l’islamisation de leur continent et le terrorisme islamiste. Bravo les experts de la « déradicalisation » et du Padamalgam !

    Combien d’individus radicalisés dangereux sont en liberté dans notre pays ? On ne sait pas et de toute façon cela importe peu puisqu’ils sont justement en liberté ! Car les politiciens, soucieux avant tout de respecter l’idéologie de l’état de droit – en clair : le pouvoir des juges inamovibles – attendent… qu’ils commettent un délit ou un crime pour les arrêter.

    Comme vis-à-vis de l’immigration, le fameux « principe de précaution » ne s’applique pas à l’islamisme. Tant pis pour les victimes.

    Les Etats ne font la guerre qu’à leurs propres peuples

    La décision du Conseil d’Etat sur les arrêtés anti-burkini du mois d’août dernier ne surprend personne.

    Comme l’a bien montré Jean Yves Le Gallou dans son dernier ouvrage (1), en effet, le pouvoir judiciaire, qu’il soit national ou européen, n’a cessé de favoriser l’immigration et l’islamisation de l’Europe – au nom de l’idéologie des droits de l’homme et du cosmopolitisme, voire de la « politique de peuplement » chère à Manuel Valls.

    Les Etats européens ne font la guerre qu’à leurs propres peuples. Comme l’avait prévu Jean Raspail dans Le Camp des Saints (2) : son roman – sa prophétie, devrait-on dire – se termine justement sur l’image de l’armée française bombardant non pas les envahisseurs mais… les derniers Français qui veulent résister à l’invasion.

    Nous sommes déjà dans ce processus d’inversion puisque les pouvoirs publics, les systèmes sociaux et les organisations humanitaires n’ont qu’une priorité : « accueillir les immigrants », les « secourir » en mer, les aider à s’installer en Europe puis à faire venir leurs familles, les protéger de la « xénophobie » et du « racisme ». En d’autres termes à ouvrir toutes grandes les portes à la guerre ethnique, communautariste et religieuse qui vient.

    Les autochtones pauvres, les Calaisiens victimes des « migrants », les SDF ne sont plus sur le devant de la scène médiatique comme dans les années 1980. Les autochtones bénéficient aussi de moins en moins de la redistribution sociale qui va en priorité aux immigrants.

    Aujourd’hui il est plus tendance chez les bobos et les filles de bonne famille de s’afficher à côté des migrants que dans les Restos du Cœur !

    Les Etats refusent de reconnaître l’identité européenne

    Enfin, les Etats ne défendent plus les Européens car ils refusent de reconnaître l’existence même d’une identité européenne (3) ou les racines chrétiennes de l’Europe : pourquoi donc les défendraient-ils ? Non seulement ils ne les défendent pas mais ils sont devenus les protagonistes du Grand Remplacement, c’est-à-dire la disparition programmée des Européens.

    En France, depuis la loi Pleven de 1972, préférer la nationalité française est devenu un acte discriminatoire, sanctionné par les tribunaux qui prétendent néanmoins juger « au nom du peuple français » !

    En outre, avec l’approbation des traités européens, les étrangers ont les mêmes droits que les citoyens autochtones ; mieux encore : quand ils sont en situation irrégulière ils ont des droits supérieurs à ceux des citoyens, notamment en matière d’aide médicale.

    L’idéologie des droits de l’homme a tué partout la citoyenneté et donc les protections qu’elle procurait. L’idéologie « antiraciste » a, au surplus, transformé les autochtones en dhimmis juridiques : on ne poursuit pas le racisme antifrançais, antieuropéen ou la christianophobie, ce qui revient à considérer que les vies ou les croyances des Français de souche sont inférieures en dignité à celles des allogènes.

    Les Etats ne veulent plus protéger leur population

    Les Européens savent désormais que les Etats ne veulent plus les protéger.

    Le 12 juillet, soit symboliquement 2 jours avant l’attentat de Nice, le gouvernement français a décidé de frapper une « médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme ». Nous voilà donc prévenus : les victimes de l’impuissance publique recevront une médaille.

    Mais à Nice, lors de la commémoration, les autorités ont été huées par la foule. Comme, à Versailles, un policier a refusé de serrer les mains officielles lors de la commémoration de l’assassinat de deux collègues de Magnanville en juin dernier.

    Ces manifestations, comme les sondages, montrent que l’impuissance ou l’indifférence de l’Etat devient odieuse à un nombre croissant de nos concitoyens. Or un Etat impuissant devient vite un Etat illégitime.

    Aujourd’hui les citoyens sifflent les représentants du Pouvoir – désormais si mal nommé – que ce soit en France, en Allemagne ou en Italie. Ils rejettent électoralement la classe politique au pouvoir en Europe quand ils le peuvent.

    Demain ils pourraient bien aller plus loin encore dans leur dissidence.

    En Europe des révolutions ont commencé pour moins que cela.

    Michel Geoffroy (Polémia, 8 septembre 2016)

    Notes :

    1. Immigration : la catastrophe. Que faire ?, éd. Via Romana, 2016.
    2. Le Camp des saints, Robert Lafont, 1973.
    3. L’expression « Français de souche » ne recouvre « aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique », selon le Tribunal correctionnel de Paris le 19 mars 2015, jugement confirmé en appel en décembre 2015.
    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (102)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Zemmour sur le ring de C à vous

      Passage d’Eric Zemmour dans l’émission C à vous animée par Anne Sophie Lapix et Patrick Cohen. Le plateau se transforme rapidement en ring de boxe, I-Média décrypte les questions des 2 journalistes militants.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Ménard, le Maire, les médias créent le scandale par la désinformation

      Robert Ménard, Bruno le Maire, 2 interventions médiatiques montés en épingle par les médias. I-Médias décrypte comment les médias créent le scandale par la désinformation.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : AFD, point Godwin outre Rhin

      Election régionale en Allemagne, l’AFD dépasse le parti d’Angela Merkel la CDU dans un land de l’est. En France, le traitement médiatique oscille entre point Godwin et mépris médiatique.

     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (101)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Burkini... Les maires sous le feu des juges et des médias.

      Burkini, pour les médias, l’ordonnance du conseil d’Etat rendu le 25 aout est un arrêt de principe à portée générale. I-Média décrypte une décision de justice prononcée par des juges partiaux.

    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Burkini... Faux débat ? non choc de civilisation.

      Burkini toujours, tentative médiatique de tuer le débat pour ne pas aborder le fond de cette polémique. I-média passe en revue les différents arguments des médias.

    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Cénacle : caisse de résonance du CCIF.

      Tremblay en France, c’est l’histoire d’un fait divers qui devient un fait politique grâce au CCIF. Une association islamiste pourtant chouchoutée par les médias.

     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!